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Bien vivre : Rester positif, l’effort de regarder le bon côté

Parce que c'est une des questions qu'on me pose le plus souvent, que c'est également ma plus grande qualité pour certains et mon pire défaut pour d'autres, aujourd'hui je vous décris ma façon de rester positif même dans les pires moments, ma façon de ne pas m'effondrer à n'importe quel instant.

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Parce que, dans la vie, croyez-le ou non, réalisez-le ou non, acceptez-le ou non, l'univers ne tourne pas autour de nous. Parce que notre souffrance n'est qu'égoïste. Parce que j'aime croire que nous sommes capables de beaucoup plus que de l'individualisme, pratique narcissique et inhumaine socialement acceptée et applaudie par la masse.

Parce que j'aime espérer que l'être humain est capable de voir plus loin que son propre nez. Parce que c'est ma façon de penser depuis des années. Parce que depuis que j'ai commencé à voir le monde autrement je me sens libéré. Parce que je suis un guerrier intérieur. Parce que je ne permets pas aux pensées négatives d'avoir une emprise sur moi. Parce que je veux vous aider à reprendre le contrôle de votre vie. Je vous présente, messieurs, ma meilleure qualité selon certains, et mon pire défaut selon d'autres :

L'art de relativiser

Parce que, pour moi, relativiser, c'est la base, l'essentiel, ce qui fait la différence entre celui qui regarde le monde à travers une paille et celui qui a une vue d'ensemble. Parce que si regarder le monde à travers une petite paille centrée sur soi est une façon relativement aisée de vivre sa vie, c'est aussi une façon qui emprunte le chemin trop fréquenté de la facilité.

Et je n'ai, personnellement, que bien peu d'empathie pour ceux qui empruntent délibérément le chemin de la paresse. Parce que si la vie est une succession de choix, ceux qui font le choix de rester dans la lâcheté et l'individualisme facile font également le choix d'accepter les conséquences de leur décision, et ce, même si cela signifie de terribles souffrances.

Parce que, pour moi, faire l'effort de relativiser, c'est franchir le pas entre deux états importants : c'est cesser de vivre dans le «moi, puis les autres» et commencer à vivre dans le «les autres, puis moi».

C'est commencer à accepter. À accepter que, oui, il y a bien pire. C'est cesser de se plaindre qu'il y a deux ou trois nerfs dans le steak qu'on a cuisiné pour nous, puis qu'on nous a apporté alors que nous sommes restés assis à l'air climatisé dans un restaurant, alors qu'il y a, autre part dans le monde, des gens qui, au même moment, se font violer au sang ou battre à mort à coup de batte de baseball sur le crâne.

Relativiser, c'est accepter que nous ne sommes rien dans la grandeur de l'univers. Parce que nos petits problèmes financiers sont bien loin d'égaler en souffrance la vie des millions de cochons qui se font briser le nez à coup de marteau avant d'être égorgés à l'abattoir. C'est aussi accepter que notre existence et nos petits soucis, ici, sur cette petite parcelle de terrain, sur notre petite planète, sont bien mineurs face aux explosions d'étoiles et aux transformations extraordinaires qui se produisent dans l'espace. C'est finalement accepter que nos souffrances ne sont que personnelles, ne sont qu'importantes parce que l'on décide d'en faire quelque chose d'important.

Et c'est cet état d'esprit, cette réalisation que nos problèmes, aussi gros soient-ils pour nous, ne sont, pour l'univers et les autres, que bien peu. C'est cette réalisation qui nous donne l'objectivité requise pour se sortir de la négativité. C'est ce petit déclic dans la tête, qui rend nos problèmes presque risibles et insignifiants, qui m'a permis de sortir de mes moments les plus durs.

Parce que, avouons-le, les gars. Si vous lisez mon article, c'est que vous avez internet. Certainement que vous avez donc un ordinateur ou un téléphone intelligent. Je parierais que, ce soir, vous dormirez dans votre lit, avec des couvertures et du chauffage, dans une maison avec un toit, pour ensuite vous lever demain matin, jour de votre paye, où vous déjeunerez et boirez de l'eau à volonté, pour ensuite vous rendre à votre travail, en passant devant deux ou trois sans-abris. Votre vie n'est pas si mal. Votre vie va plutôt bien.

Je ne dis pas que nous devrions oublier nos problèmes ou les mettre de côté. Je ne dis certainement pas que notre vie et nos émotions ne sont pas importantes. Ce que je dis, l'essence de mon message, c'est qu'il faut réaliser qu'il y a bien pire que notre situation, et ainsi ne plus être esclave de notre souffrance. Cesser de se concentrer sur le négatif et voir le positif. Apprendre a apprécier et à être reconnaissant de tout ce qu'on a. Parce que, les gars, on a énormément.

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