Daytona 500 1976 : fin de course hallucinante
La saison de Nascar est terminée depuis déjà trois ou quatre semaines, je ne sais plus. Ce que je sais, c’est que je suis en sérieuse période de sevrage. Le Nascar, j’en prendrais douze mois par année, mais bon, le calendrier n’est pas fait ainsi. C’est donc avec une certaine impatience que j’attends déjà…
La saison de Nascar est terminée depuis déjà trois ou quatre semaines, je ne sais plus. Ce que je sais, c’est que je suis en sérieuse période de sevrage. Le Nascar, j’en prendrais douze mois par année, mais bon, le calendrier n’est pas fait ainsi.
C’est donc avec une certaine impatience que j’attends déjà le début de la prochaine saison en février prochain. La saison en Nascar, elle commence avec la présentation de la course la plus importante et la plus prestigieuse de la série, le Daytona 500. Lorsqu’un pilote gagne cette course, son nom fait désormais partie de l’histoire. On ne parle pas de lui comme du gagnant de cette course, mais bien comme du champion des 500 miles de Daytona.
Au cours de l’histoire, on a eu l’occasion d’assister à des moments dramatiques. Dans les prochaines semaines, je vais vous faire revivre certains de ces moments, question de vous mettre l’eau à la bouche et de vous donner le goût de vous installer devant votre téléviseur le 26 février prochain.
Notre premier retour en arrière : l’édition 1976 de ce célèbre classique américain.
Les acteurs : David Pearson au volant de la voiture blanche no 21 et Richard Petty aux commandes de la voiture bleue no 43.
Comme vous pouvez le voir sur la vidéo, tout n’a été qu’une question de pieds…
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